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Encyclopédie de Diderot
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ECDIQUE

Détails
Écrit par : Denis Diderot (*)
Catégorie : Histoire ancienne
S. m. (Histoire ancienne) espèce de magistrat dont les fonctions dans les villes grecques, n'étaient pas éloignées de celles qui sont exercées dans nos villes, par les officiers qu'on y appelle syndics. L'église de Constantinople avait des ecdiques ; mais il ne nous reste aucune notion des emplois qu'ils y avaient. Nous savons seulement qu'ils étaient soumis à un chef appelé protecdique.

Création : 1 Novembre 1755
Clics : 1173

EPITOGE

Détails
Écrit par : Denis Diderot (*)
Catégorie : Histoire ancienne
S. f. (Histoire ancienne) espèce de manteau qui se mettait sur la toge. Voyez TOGE.


Création : 1 Novembre 1755
Clics : 1230

Lire la suite : EPITOGE

EPONIME

Détails
Écrit par : Denis Diderot (*)
Catégorie : Histoire ancienne
S. m. (Histoire ancienne) c'était le chef des Archontes. Voyez ARCHONTES.

Création : 1 Novembre 1755
Clics : 1886

DYSARES

Détails
Écrit par : Edme-François Mallet (G)
Catégorie : Histoire ancienne
S. m. (Histoire ancienne) dieu qui était adoré des anciens Arabes, et qu'on croit avoir été le même que Bacchus, ou le Soleil. On lit Disarès dans Tertullien, apologet. c. xxjv., où il dit que chaque pays avait son dieu particulier ; que les Syriens adoraient Astarte, et les Arabes Dysarès. On trouve Dusarès dans Etienne ; et Vossius prétend que ce nom vient du syriaque duts et arets, dont le premier signifie joie, et l'autre terre : comme si les Arabes eussent voulu dire que leur dieu les réjouissait en rendant la terre féconde. (G)

Création : 1 Novembre 1755
Clics : 1171

ERARIUM

Détails
Écrit par : Ephraim Chambers
Catégorie : Histoire ancienne
S. m. (Histoire ancienne) était le trésor de l'état sous les empereurs romains.

Le temple de Saturne à Rome où se gardait ce trésor, s'appelait par cette raison aerarium, du mot aes, aeris, cuivre ; parce qu'il n'y avait pas eu d'autre monnaie à Rome que de ce métal, avant l'an 485 de sa fondation. Voyez MONNOIE, ESPECE.

Ce fut Auguste qui le commença, et il fut entretenu de ce que chacun y contribua volontairement ; mais ces contributions ne suffisant pas pour les besoins de l'état, le vingtième des legs et des successions fut assigné à ce trésor, pourvu néanmoins que les héritiers ou les légataires ne fussent pas des proches parents, ou des pauvres.


Création : 1 Novembre 1755
Clics : 1317

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  1. DODRANS
  2. DONATIF
  3. DUUMVIR
  4. EMBAMMA
  5. EMMELIE

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