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- Écrit par : Auteur anonyme
- Catégorie : Marine
Etre à flot, c'est avoir de l'eau suffisamment sous le navire, pour qu'il se soutienne sans toucher.
N'être pas à flot, c'est toucher sur le fond.
Mettre à flot, c'est relever un bâtiment lorsqu'il a touché ; ce qui arrive lorsqu'il est échoué à mer basse, qu'elle vient à monter, et que l'eau augmente assez pour le faire flotter. (Z)
FLOT, s. m. (Hydrogr. et Marine) c'est ainsi que les Marins appellent le flux dans les marées, c'est-à-dire l'élevation des eaux de la mer ; et ils appellent jusant, l'abaissement ou reflux de ces eaux. Voyez FLUX et REFLUX, MAREE.
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- Écrit par : Jacques-Nicolas Bellin (Z)
- Catégorie : Marine
Les fnés ont l'avant et le dessous fort aigus ; ils coupent bien l'eau, et prennent facilement le vent : ils n'ont qu'un mât placé vers l'avant, et carré jusqu'au bas où il est rond ; on peut le mettre bas en le couchant vers l'arrière : ce qu'ils font quand le vent est contraire, alors on prend les rames pour nager, et le mât sert de banc pour s'asseoir : c'est par cette raison qu'on le fait carré. Il y a une ouverture pour mettre le pied du mât quand on l'arbore, et pour le soutenir il y a des étais à l'avant et à l'arrière, qui sont amarrés à des traversins qui sont vers ces deux bouts ; on se sert de racages pour hisser la vergue et la voile.
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- Écrit par : Jacques-Nicolas Bellin (Z)
- Catégorie : Marine
Les empatures de l'étrave ont de longueur au moins quatre fois l'épaisseur de la quille.
Comme les bordages et les préceintes de l'avant vont se terminer sur l'étrave, on y fait une rablure pour les recevoir. Voyez, Planche IV. de Marine, fig. 1. n°. 3. la situation de l'étrave.
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